Anticipons le risque de fraude !
La mise en place d’une solide gestion du risque de fraude (GRF) au sein de l’entreprise, constitue aujourd’hui un enjeu de premier plan.
Pourtant, cette mise en place et l’investissement qu’elle requiert tardent souvent, dès lors que l’entreprise n’a pas été victime.
Pourquoi attendre de subir l’attaque des fraudeurs ou des organisations malveillantes pour agir ?
Il est certes plus difficile d’évaluer a priori le retour sur investissement de la GRF que de décider de la mise en œuvre d’un plan d’actions, une fois les pertes financières avérées, induites, par exemple, par une fraude dite « au président ». Cependant, pour l’entreprise, l’anticipation constitue un prérequis à la prise de hauteur, au développement de son agilité, à la réduction de son degré d’exposition et de son risque.
L’anticipation du risque de fraude implique la déclinaison d’un projet d’envergure, transversal et en profondeur à l’échelle de l’Entreprise.
Un tel projet porte toujours une part de contrainte, voire de remise en question. Il nécessite des décloisonnements et des échanges entre les acteurs de l’entreprise, peut-être là où ils étaient jusqu’à présent insuffisants… Ainsi, outre l’expertise de bout en bout de la chaîne des paiements, il requiert un regard neuf et éclairé, ainsi qu’une méthodologie éprouvée. C’est en cela, en particulier, que l’accompagnement par un tiers expert prend tout son sens !